Mieux vaut être un homme, éduqué et expérimenté.
Le profil type du « startupper »
À partir des dossiers qu’il reçoit depuis trois ans, l’accélérateur de start-up Le Camping a tracé le portait du « startupper » type.
Genre : masculin
Seuls 21 % des projets présentés comptent au moins une femme. Une note positive cependant, ce chiffre est en hausse. En 2011, elles n’étaient que 13 %.
Âge : 29 ans
Les « startuppeurs » sont plus vieux. De 27 ans en 2011, l’âge moyen est passé à 29 ans en 2014. Ils sont désormais plus expérimentés et la plupart bénéficient d’une expérience dans un grand groupe. Certains ont même déjà monté d'autres start-ups avant.
Étude : Master
L’énorme majorité d’entre eux (83 %) ont un niveau Master ou équivalent. Quelque 8 % ont une licence et 3 % un doctorat. Autre profilage de taille, propre à la France, 52 % d’entre eux sont passés sur les bancs d’une grande école. En revanche, l’aspect international n’est pas déterminant puisque seulement 7 % ont fait une partie de leurs études à l'étranger.
Le petit plus : être bien accompagné
De moins en moins de dossiers sont portés par un individu. En moyenne, ils sont deux : l’un étant focalisé sur le développement de la société, l’autre ayant un profil de développeur pour s’occuper de la partie technique.
Genre : masculin
Seuls 21 % des projets présentés comptent au moins une femme. Une note positive cependant, ce chiffre est en hausse. En 2011, elles n’étaient que 13 %.
Âge : 29 ans
Les « startuppeurs » sont plus vieux. De 27 ans en 2011, l’âge moyen est passé à 29 ans en 2014. Ils sont désormais plus expérimentés et la plupart bénéficient d’une expérience dans un grand groupe. Certains ont même déjà monté d'autres start-ups avant.
Étude : Master
L’énorme majorité d’entre eux (83 %) ont un niveau Master ou équivalent. Quelque 8 % ont une licence et 3 % un doctorat. Autre profilage de taille, propre à la France, 52 % d’entre eux sont passés sur les bancs d’une grande école. En revanche, l’aspect international n’est pas déterminant puisque seulement 7 % ont fait une partie de leurs études à l'étranger.
Le petit plus : être bien accompagné
De moins en moins de dossiers sont portés par un individu. En moyenne, ils sont deux : l’un étant focalisé sur le développement de la société, l’autre ayant un profil de développeur pour s’occuper de la partie technique.