Ça va mieux au travail
27 000 français ont été interrogé l’an dernier dans le cadre de cette étude. Résultat : les contraintes liées au rythme de travail se sont stabilisées. La pression ressentie pour les salariées a même baissé : en 2013, ils étaient 36,4 % à la ressentir pour 31,2 % aujourd’hui. Ils sont également moins à se plaindre du manque de reconnaissance : 23,8 % contre 29,1 % avant. Un constat inattendu qui engendre la réduction des comportements hostiles.
Le revers de la médaille
Cette amélioration est néanmoins à relativiser puisque les salariés ont le sentiment d’être de moins en moins autonomes et que les tâches sont de plus en plus standardisées. De plus le travail monte en exigence et est morcelé, demandant aux salariés une grande vigilance. C’est donc un tableau mitigé car à l’heure de l’automatisation des tâches, ces problématiques sont amenées à se développer.
Morgane Al Mardini