Thierry Timsit, Astorg
DÉCIDEURS. Le sixième fonds pose les bases d’un nouvel Astorg. En quoi cela a-t-il changé vos fondamentaux ?
En doublant la taille de notre dernier fonds (à 2,1 milliards d’euros, NDLR), nous nous sommes donné les moyens de nos objectifs internationaux. Nous n’en conservons pas moins notre culture interne. La taille des entreprises que nous accompagnons n’a pas non plus doublé. En revanche, nous sommes désormais à même de les cibler puis de les accompagner plus efficacement encore depuis nos bureaux de Paris, Londres et Luxembourg. Des senior advisors nous permettent par ailleurs de disposer de correspondants dans d’autres marchés. C’est notamment le cas avec Alexander Klemm en Allemagne ou encore Hanspeter Diener en Suisse où nous venons de reprendre Autoform. Nos équipes se sont également renforcées avec l’arrivée de nouveaux profils toujours plus internationaux et multiculturels. C’est un réel atout de notre point de vue.
Pourquoi lui : à peine levé, le sixième fonds a déjà réalisé quatre investissements : Parkeon, Autoform, HRA Pharma et l’anglais Audiotonix.
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