Olivier Oria, directeur général délégué d’Ater
« Maîtriser son marché mais aussi le contexte économique, fiscal et social dans lequel nous évoluons
Chiffre d’affaires HT 2014 : 11,7 M€
Effectifs 2014 : 175
Secteur d’activité : services aux banques et assurances
Après des expériences d’expert-comptable et de contrôleur de gestion, Olivier Oria devient en 2000 directeur financier du groupe Ater, numéro un de l’enquête civile. Sept ans plus tard, il est promu directeur général délégué. « Répondre à un appel d’offre, travailler sur un projet de croissance externe ou de restructuration nécessite de maîtriser son marché mais aussi le contexte économique, fiscal et social dans lequel nous évoluons. Mon expérience de DAF a été très importante pour cela. Si le directeur financier a un goût prononcé pour le relationnel et s’il est persuadé de l’offre produit/marché de son entreprise, il devient vite à l’aise pour remplir le rôle de directeur général », affirme-t-il. Une approche qui réussit puisque depuis sa prise de fonction le chiffre d’affaires du groupe est passé de neuf à douze millions d’euros.
Ce témoignage fait partie de notre enquête "Quand les DAF deviennent président".
Effectifs 2014 : 175
Secteur d’activité : services aux banques et assurances
Après des expériences d’expert-comptable et de contrôleur de gestion, Olivier Oria devient en 2000 directeur financier du groupe Ater, numéro un de l’enquête civile. Sept ans plus tard, il est promu directeur général délégué. « Répondre à un appel d’offre, travailler sur un projet de croissance externe ou de restructuration nécessite de maîtriser son marché mais aussi le contexte économique, fiscal et social dans lequel nous évoluons. Mon expérience de DAF a été très importante pour cela. Si le directeur financier a un goût prononcé pour le relationnel et s’il est persuadé de l’offre produit/marché de son entreprise, il devient vite à l’aise pour remplir le rôle de directeur général », affirme-t-il. Une approche qui réussit puisque depuis sa prise de fonction le chiffre d’affaires du groupe est passé de neuf à douze millions d’euros.
Ce témoignage fait partie de notre enquête "Quand les DAF deviennent président".