Figure emblématique du monde du conseil financier, Éric Toulemonde vient de créer sa propre structure, Ekapartners.
Éric Toulemonde : «Nous intervenons dans le cadre d’opérations complexes»
Décideurs. Pouvez-vous nous rappeler en quelques mots votre parcours ?
Éric Toulemonde. J’ai commencé il y a près de vingt ans dans le département ingénierie financière de la Banexi (Groupe BNP), à Milan puis Paris, avant de rejoindre Rothschild & Cie en 1998 où j’ai progressivement pris la responsabilité du secteur des biens de consommation en tant que managing director. Après une expérience de deux ans au sein de Leonardo & Co., j’ai décidé de franchir le pas et de créer ma propre structure de conseil en M&A et en financement, Ekapartners.
Décideurs. Pourquoi avoir créé Ekapartners ?
E. T. En fondant ma propre structure de conseil financier, j’ai souhaité proposer à mes clients une expertise très intuitu, associant la qualité d’exécution des grandes maisons et la souplesse et la réactivité d’une structure à taille humaine. Cette démarche s’appuie notamment sur près de vingt années dans le métier du conseil financier et soixante opérations closées, pour l’essentiel dans des contextes très internationaux.
Décideurs. Comment se compose votre équipe ?
E. T. Ekapartners est actuellement composé de quatre professionnels. Notre objectif est de compléter cet effectif dans les prochains mois. Ekapartners s’appuie également sur une équipe de senior advisors de haut niveau, professionnels d’expérience aux parcours variés et qui ont choisi de mettre leur expérience et leurs contacts au service de cette aventure entrepreneuriale et de ses clients, avec notamment Igor Landau (ancien CEO d’Aventis) ou Élie Vannier (journaliste, Morgan Grenfell, GrandVision…)...
Enfin, notre cabinet s’appuie à l’étranger sur un réseau de contacts et de partenaires de confiance, construit depuis de très longues années.
Décideurs. À quel type de clientèle Ekapartners s’adresse-t-il ?
E. T. Nous intervenons pour des clients de nature assez diversifiée : des familles, des groupes industriels ou des fonds d’investissement. Le point commun est qu’ils cherchent une exécution « cousue main », sur mesure et très senior, dans la plus grande confidentialité.
Décideurs. Quel est le positionnement de votre cabinet ?
E. T. Nous intervenons beaucoup dans le cadre d’opérations complexes et à forte connotation internationale, que ce soit sur des problématiques de M&A ou de financement.
Les secteurs couverts sont variés, avec un prisme originel vers les biens de consommation et distribution, secteur dans lequel je suis récemment intervenu dans le cadre de l’acquisition de Maisons du monde par Bain Capital ou la cession d’Alain Mikli à Luxottica.
Les premiers mandats signés par Ekapartners confirment cet ADN transfrontalier. Nous intervenons notamment pour le compte d’un fonds d’investissement anglais dans la cession d’une de ses participations en Allemagne (CA 150 M€) et pour un groupe industriel français dans le cadre de sa stratégie de croissance externe en Italie.
Sur le fond, j’aime profondément ce métier, car il offre des rencontres et des aventures humaines fortes et la capacité à conseiller un client dans ce qui est pour lui unique, un mouvement stratégique majeur. Car, in fine, la seule chose qui compte vraiment, c’est le client.
Éric Toulemonde. J’ai commencé il y a près de vingt ans dans le département ingénierie financière de la Banexi (Groupe BNP), à Milan puis Paris, avant de rejoindre Rothschild & Cie en 1998 où j’ai progressivement pris la responsabilité du secteur des biens de consommation en tant que managing director. Après une expérience de deux ans au sein de Leonardo & Co., j’ai décidé de franchir le pas et de créer ma propre structure de conseil en M&A et en financement, Ekapartners.
Décideurs. Pourquoi avoir créé Ekapartners ?
E. T. En fondant ma propre structure de conseil financier, j’ai souhaité proposer à mes clients une expertise très intuitu, associant la qualité d’exécution des grandes maisons et la souplesse et la réactivité d’une structure à taille humaine. Cette démarche s’appuie notamment sur près de vingt années dans le métier du conseil financier et soixante opérations closées, pour l’essentiel dans des contextes très internationaux.
Décideurs. Comment se compose votre équipe ?
E. T. Ekapartners est actuellement composé de quatre professionnels. Notre objectif est de compléter cet effectif dans les prochains mois. Ekapartners s’appuie également sur une équipe de senior advisors de haut niveau, professionnels d’expérience aux parcours variés et qui ont choisi de mettre leur expérience et leurs contacts au service de cette aventure entrepreneuriale et de ses clients, avec notamment Igor Landau (ancien CEO d’Aventis) ou Élie Vannier (journaliste, Morgan Grenfell, GrandVision…)...
Enfin, notre cabinet s’appuie à l’étranger sur un réseau de contacts et de partenaires de confiance, construit depuis de très longues années.
Décideurs. À quel type de clientèle Ekapartners s’adresse-t-il ?
E. T. Nous intervenons pour des clients de nature assez diversifiée : des familles, des groupes industriels ou des fonds d’investissement. Le point commun est qu’ils cherchent une exécution « cousue main », sur mesure et très senior, dans la plus grande confidentialité.
Décideurs. Quel est le positionnement de votre cabinet ?
E. T. Nous intervenons beaucoup dans le cadre d’opérations complexes et à forte connotation internationale, que ce soit sur des problématiques de M&A ou de financement.
Les secteurs couverts sont variés, avec un prisme originel vers les biens de consommation et distribution, secteur dans lequel je suis récemment intervenu dans le cadre de l’acquisition de Maisons du monde par Bain Capital ou la cession d’Alain Mikli à Luxottica.
Les premiers mandats signés par Ekapartners confirment cet ADN transfrontalier. Nous intervenons notamment pour le compte d’un fonds d’investissement anglais dans la cession d’une de ses participations en Allemagne (CA 150 M€) et pour un groupe industriel français dans le cadre de sa stratégie de croissance externe en Italie.
Sur le fond, j’aime profondément ce métier, car il offre des rencontres et des aventures humaines fortes et la capacité à conseiller un client dans ce qui est pour lui unique, un mouvement stratégique majeur. Car, in fine, la seule chose qui compte vraiment, c’est le client.
