Nicolas Bertrand, directeur général de Micromania
« Je ne me suis jamais senti comme un vrai DAF »
Chiffre d’affaires 2014 : 600 M€
Effectifs 2014 : 1 500 employés
Secteur : distribution
« Le champ d’action des DAF s’est considérablement élargi. Ainsi, lorsque je rejoins Micromania en 2008, l’intitulé de mon poste est directeur général adjoint, finance & développement », analyse ce financier à qui tout réussit et qui dirige le numéro un français de la distribution de jeux vidéo depuis avril 2014. C'est lui qui a géré la sortie de Micromania du LBO mis en place avec L Capital. Encore lui qui a coordonné l'intégration au groupe américain Gamestop, numéro un mondial de la distribution de jeux vidéo. En 2013, Nicolas Bertrand a profité du redressement judiciaire de Game pour négocier le rachat des 44 magasins du réseau. « Dans la distribution, le directeur financier doit avoir une vision très fonctionnelle. Il doit être capable de mettre en place des process et d’en mesurer les résultats tous les jours. C’est pourquoi je ne me suis jamais senti comme un vrai DAF », confie-t-il.
Ce témoignage fait partie de notre enquête "Quand les DAF deviennent président".
Effectifs 2014 : 1 500 employés
Secteur : distribution
« Le champ d’action des DAF s’est considérablement élargi. Ainsi, lorsque je rejoins Micromania en 2008, l’intitulé de mon poste est directeur général adjoint, finance & développement », analyse ce financier à qui tout réussit et qui dirige le numéro un français de la distribution de jeux vidéo depuis avril 2014. C'est lui qui a géré la sortie de Micromania du LBO mis en place avec L Capital. Encore lui qui a coordonné l'intégration au groupe américain Gamestop, numéro un mondial de la distribution de jeux vidéo. En 2013, Nicolas Bertrand a profité du redressement judiciaire de Game pour négocier le rachat des 44 magasins du réseau. « Dans la distribution, le directeur financier doit avoir une vision très fonctionnelle. Il doit être capable de mettre en place des process et d’en mesurer les résultats tous les jours. C’est pourquoi je ne me suis jamais senti comme un vrai DAF », confie-t-il.
Ce témoignage fait partie de notre enquête "Quand les DAF deviennent président".