Avec un total de 120 professionnels présents sur six bureaux à travers le monde, Bryan Garnier offre un panel de services très large à ses clients
Bryan Garnier : une banque d’investissement paneuropéenne de référence
Avec un effectif de 120 professionnels répartis à travers six bureaux dans le monde, Bryan, Garnier & Co s’est imposé comme une banque d’affaire de référence sur la scène européenne. Présentation d’un spécialiste du M&A dans les secteurs de la santé, du luxe et des technologies.
Installé à Londres et Paris dès sa création en 1996, Bryan Garnier s’est donc construit avec un pied en Europe continentale et l’autre en terre anglo-saxonne. La banque d’affaires se consacre au départ à la finance de marché impulsée par son cofondateur Olivier Garnier, auparavant trader chez Goldman Sachs. Il est épaulé les premières années par Shelby Bryan, fondateur du réseau de téléphonie mobile Millicom, qui apporte son esprit entrepreneurial et la dualité culturelle encore présente aujourd’hui. En 1998, Grégoire Revenu rejoint la structure afin de piloter le département corporate finance. D’abord limitée aux levées de fonds pour les entrepreneurs, cette activité s’étend ensuite au M&A et à l’equity capital market. En 2008, c’est Virginie Lazès qui prend la tête de la branche, désormais la plus importante de l’établissement, tandis que Grégoire Revenu crée la practice private equity et que la banque se lance sur de nouveaux territoires.
Un développement international
En 2009, Bryan Garnier s’implante aux États-Unis avec l’ouverture d’une salle de marché à New York. La même année, la banque d’affaires intervient en Inde sur l’acquisition de l’activité vaccin du groupe Mérieux par Sanofi. Elle fait alors fructifier les contacts établis en ouvrant un bureau dédié au corporate finance à New Delhi dès 2010. Si l’objectif de cette structure est d’abord d’accompagner des clients dans leur conquête de l’Inde, elle vise à devenir un acteur local et à intervenir in fine sur des opérations cross border de l’Inde vers l’Europe. Il est probable que ce mode opératoire soit également dupliqué au Brésil courant 2012. Quant au marché chinois, bien qu’attractif, une implantation locale ne fait pas partie de l’ordre du jour. « En Chine, les contraintes culturelles et juridiques sont plus importantes que dans d’autres pays émergents comme l’Inde ou le Brésil. De plus, pour l’instant, nous n’avons aucun point d’accroche solide là-bas », explique Virginie Lazès, managing partner, head of corporate finance. Enfin, Bryan Garnier est également implanté à Genève, avec une petite équipe dédiée à la gestion d’actifs.
Des secteurs d’intervention privilégiés
La santé constitue un domaine de prédilection pour Bryan Garnier. La banque d’affaires y intervient sur des activités très diverses, allant des biotechnologies aux maisons de retraite en passant par l’industrie pharmaceutique. Outre la santé, Bryan Garnier est très présent en Technologies Médias Télécommunications. Cependant, la banque d’affaires intervient également dans le domaine des énergies propres depuis 2008, et dans les biens de consommation, détail et luxe depuis 2009. Cette dernière activité a d’ailleurs été dynamisée par l’arrivée de François Arpels qui a apporté sa connaissance du marché.
2011 : Une année dynamique
Plus récemment, Bryan Garnier est intervenu sur plusieurs opérations avoisinant les 100 millions d’euros pour la prise de contrôle d’entreprises cotées. Parmi elles, on retrouve l’acquisition de Metrologic Group par The Carlyle Group, celle de ModeLabs par Bigben, ou encore celle de l’éditeur de logiciels Infovista par le fonds d’investissement américain Thoma Bravo. En outre, la banque s’est illustrée en 2011 sur des opérations transfrontalières de grande envergure. La cession de Sword CTSpace au britannique Idox, l’acquisition de netmums.com par aufeminin.com ou celle du spécialiste des traitements ophtalmologiques Novagali Pharma par le laboratoire japonais Santen ont été des succès de l’année écoulée. La banque d’investissement affirme ainsi son envergure internationale et sa capacité à accompagner des clients sans contraintes géographiques. D’un point de vue sectoriel, les opérations en software et Internet ont été particulièrement nombreuses en 2011.
Une offre multiple
Avec un total de 120 professionnels présents sur six bureaux à travers le monde, Bryan Garnier offre un panel de services très large à ses clients. L’activité corporate finance peut accompagner des groupes sur des opérations de M&A, d’augmentation de capital, de retrait de cotes ou encore d’equity market. La banque d’affaires est notamment devenue une référence européenne du public M&A. « Par rapport à des pure players, nous sommes capables d’accompagner une entreprise sur l’intégralité d’une opération financière, c’est une logique clé en main », conclue Virginie Lazès.
Installé à Londres et Paris dès sa création en 1996, Bryan Garnier s’est donc construit avec un pied en Europe continentale et l’autre en terre anglo-saxonne. La banque d’affaires se consacre au départ à la finance de marché impulsée par son cofondateur Olivier Garnier, auparavant trader chez Goldman Sachs. Il est épaulé les premières années par Shelby Bryan, fondateur du réseau de téléphonie mobile Millicom, qui apporte son esprit entrepreneurial et la dualité culturelle encore présente aujourd’hui. En 1998, Grégoire Revenu rejoint la structure afin de piloter le département corporate finance. D’abord limitée aux levées de fonds pour les entrepreneurs, cette activité s’étend ensuite au M&A et à l’equity capital market. En 2008, c’est Virginie Lazès qui prend la tête de la branche, désormais la plus importante de l’établissement, tandis que Grégoire Revenu crée la practice private equity et que la banque se lance sur de nouveaux territoires.
Un développement international
En 2009, Bryan Garnier s’implante aux États-Unis avec l’ouverture d’une salle de marché à New York. La même année, la banque d’affaires intervient en Inde sur l’acquisition de l’activité vaccin du groupe Mérieux par Sanofi. Elle fait alors fructifier les contacts établis en ouvrant un bureau dédié au corporate finance à New Delhi dès 2010. Si l’objectif de cette structure est d’abord d’accompagner des clients dans leur conquête de l’Inde, elle vise à devenir un acteur local et à intervenir in fine sur des opérations cross border de l’Inde vers l’Europe. Il est probable que ce mode opératoire soit également dupliqué au Brésil courant 2012. Quant au marché chinois, bien qu’attractif, une implantation locale ne fait pas partie de l’ordre du jour. « En Chine, les contraintes culturelles et juridiques sont plus importantes que dans d’autres pays émergents comme l’Inde ou le Brésil. De plus, pour l’instant, nous n’avons aucun point d’accroche solide là-bas », explique Virginie Lazès, managing partner, head of corporate finance. Enfin, Bryan Garnier est également implanté à Genève, avec une petite équipe dédiée à la gestion d’actifs.
Des secteurs d’intervention privilégiés
La santé constitue un domaine de prédilection pour Bryan Garnier. La banque d’affaires y intervient sur des activités très diverses, allant des biotechnologies aux maisons de retraite en passant par l’industrie pharmaceutique. Outre la santé, Bryan Garnier est très présent en Technologies Médias Télécommunications. Cependant, la banque d’affaires intervient également dans le domaine des énergies propres depuis 2008, et dans les biens de consommation, détail et luxe depuis 2009. Cette dernière activité a d’ailleurs été dynamisée par l’arrivée de François Arpels qui a apporté sa connaissance du marché.
2011 : Une année dynamique
Plus récemment, Bryan Garnier est intervenu sur plusieurs opérations avoisinant les 100 millions d’euros pour la prise de contrôle d’entreprises cotées. Parmi elles, on retrouve l’acquisition de Metrologic Group par The Carlyle Group, celle de ModeLabs par Bigben, ou encore celle de l’éditeur de logiciels Infovista par le fonds d’investissement américain Thoma Bravo. En outre, la banque s’est illustrée en 2011 sur des opérations transfrontalières de grande envergure. La cession de Sword CTSpace au britannique Idox, l’acquisition de netmums.com par aufeminin.com ou celle du spécialiste des traitements ophtalmologiques Novagali Pharma par le laboratoire japonais Santen ont été des succès de l’année écoulée. La banque d’investissement affirme ainsi son envergure internationale et sa capacité à accompagner des clients sans contraintes géographiques. D’un point de vue sectoriel, les opérations en software et Internet ont été particulièrement nombreuses en 2011.
Une offre multiple
Avec un total de 120 professionnels présents sur six bureaux à travers le monde, Bryan Garnier offre un panel de services très large à ses clients. L’activité corporate finance peut accompagner des groupes sur des opérations de M&A, d’augmentation de capital, de retrait de cotes ou encore d’equity market. La banque d’affaires est notamment devenue une référence européenne du public M&A. « Par rapport à des pure players, nous sommes capables d’accompagner une entreprise sur l’intégralité d’une opération financière, c’est une logique clé en main », conclue Virginie Lazès.