Mathieu Wehrung, fondateur et président de Soif d'ailleurs
« Les méthodes acquises s'appliquent à toutes les fonctions de l'entreprise »
Chiffre d’affaires 2014 : 100 K€ (après cinq mois d’activité)
Effectifs 2014 : 1 directrice commerciale, 1 sommelier
Secteur : distribution
Après une carrière dans la finance d'entreprise au cours de laquelle il prend tour à tour la direction du contrôle de gestion et de la trésorerie du groupe Europcar, Mathieu Wehrung décide de lancer son propre business. Sans cette expérience, il n’aurait pas osé sauter le pas. « La direction financière donne accès à l'ensemble des services de l'entreprise. De plus, les techniques et méthodes acquises s'appliquent à l'ensemble des fonctions. Résultat, on maîtrise les outils de pilotage et on a une vue d'ensemble. Un atout de taille pour assumer une direction », précise-t-il. Un savoir-faire qui lui a permis de se lancer dans le marché des cavistes. Un secteur dont il n’avait pourtant qu’ « une connaissance très parcellaire et insuffisante à ses débuts. Mais mon expérience en direction financière m’a permis de cerner rapidement les enjeux financiers et stratégiques du secteur. » Il ambitionne de dépasser les 500 000 euros de chiffre d’affaires en 2015.
Ce témoignage fait partie de notre enquête "Quand les DAF deviennent président".
Effectifs 2014 : 1 directrice commerciale, 1 sommelier
Secteur : distribution
Après une carrière dans la finance d'entreprise au cours de laquelle il prend tour à tour la direction du contrôle de gestion et de la trésorerie du groupe Europcar, Mathieu Wehrung décide de lancer son propre business. Sans cette expérience, il n’aurait pas osé sauter le pas. « La direction financière donne accès à l'ensemble des services de l'entreprise. De plus, les techniques et méthodes acquises s'appliquent à l'ensemble des fonctions. Résultat, on maîtrise les outils de pilotage et on a une vue d'ensemble. Un atout de taille pour assumer une direction », précise-t-il. Un savoir-faire qui lui a permis de se lancer dans le marché des cavistes. Un secteur dont il n’avait pourtant qu’ « une connaissance très parcellaire et insuffisante à ses débuts. Mais mon expérience en direction financière m’a permis de cerner rapidement les enjeux financiers et stratégiques du secteur. » Il ambitionne de dépasser les 500 000 euros de chiffre d’affaires en 2015.
Ce témoignage fait partie de notre enquête "Quand les DAF deviennent président".
