NMW Avocats est un cabinet de niche spécialisé dans les questions structurantes du patrimoine des particuliers et des entreprises. Jean-Christophe Bouchard, Sarah Lugan et Philippe Reigné partagent une vision interprofessionnelle du métier d’avocat.
NMW, l’interprofessionnalité au service du patrimoine
En 2011, Jean-Christophe Bouchard et Sarah Lugan, respectivement responsables des pôles fiscalité et immobilier du cabinet NMW, ont proposé au professeur Philippe Reigné de les rejoindre. Séduit, ce dernier les a ralliés en qualité de consultant. Aujourd’hui, NMW accueille déjà huit collaborateurs et vient de lancer deux recrutements. La modestie du nombre est un choix assumé par les dirigeants qui souhaitent préserver la solidarité de l’équipe en préservant un effectif restreint afin de pouvoir aisément et rapidement se conformer aux contraintes. Ce choix de constituer une unité compacte permet de facilement s’accorder sur la mise en œuvre de la solution proposée au client, préoccupation omniprésente de NMW.
Le trinôme
Jean-Christophe Bouchard a exercé durant cinq ans en qualité d’auditeur financier chez KPMG avant de devenir expert-comptable. Il adjoint une formation de juriste à son socle comptable, et se spécialise en fiscalité. Il prête ainsi serment en 1999. S’enchaîne ensuite une expérience d’avocat dans plusieurs cabinets français. Il y construit alors son avenir grâce aux rencontres déterminantes de Sarah Lugan et Philippe Reigné.
Sarah Lugan est notaire de formation. Elle a exercé durant huit ans avant de rejoindre le cabinet d’avocats. Elle apporte au cabinet ses expertises en droit immobilier et patrimonial. Elle maîtrise le droit de l’environnement lié à l’urbanisme, le droit de la construction et les baux commerciaux.
Ils sont rejoints en juin 2011 par Philippe Reigné. S’ajoute ainsi à la pratique corporate finance et haut de bilan, l’expertise en corporate du professeur. Ancien d’HEC, agrégé de droit, diplômé d’études comptables et financières, il a exercé durant sept ans chez Archibald. Ce spécialiste des dossiers de cessions et d’acquisitions, de droit boursier et de financement fait de la consultation la suite logique et l’une des sources de son enseignement.
L’équipe de NMW est restreinte, solidaire, le trinôme forme une entité dense, compacte, singulière et interprofessionnelle. NMW se manœuvre sans l’inertie liée aux grosses structures. Positionné à la zone de contact entre l’immobilier, le corporate et la fiscalité, NMW s’adresse principalement à une clientèle internationale, soucieuse d’optimiser et de préserver son patrimoine. Elle est formée d’institutions telles que des sociétés immobilières ou foncières, compagnies d’assurance, fonds d’investissement, prêteurs et emprunteurs – SFL, Icade, Covea, Intrawest, Lloyds par exemple – mais également de particuliers fortunés internationaux et français.
La méthode no more worries
L’esprit commun des fondateurs lie la simplicité au pragmatisme : littéralement, la transposition de l’anagramme NMW – no more worries – signifie que le cabinet s’engage, par sa charte de valeurs, à proposer une solution concrète au client et à résoudre ses problèmes. Autrement dit, le cabinet ne raisonne pas au travers du nombre de dossiers qu’il accepte de prendre en charge et donc quantitativement, mais qualitativement.
En outre, si le barreau impose a minima quarante heures de formation biennale continue, NMW va spontanément au-delà en s’imposant une formation permanente. Le professeur Philippe Reigné se charge de la doctrine interne, de la veille juridique et de la mise à jour des connaissances techniques des avocats. Agrégé, il se fait fort d’assurer le knowledge management du cabinet. Cette formation permanente propre à NMW permet également d’harmoniser les méthodes de travail de l’ensemble des collaborateurs, NMW misant sur l’interprofessionalisation et sur la pluridisciplinarité de chacun.
Future holding capitalistique ?
NMW n’a pas vocation à devenir full service ; la croissance, qui n’est pas un objectif du cabinet, mais une conséquence de son succès, pourra se trouver ailleurs, dans l’interprofessionnalité justement. La gestion de patrimoine d’entreprise et de particuliers demeurera au centre de leur intervention. Ce qui intéresse les associés serait d’occuper pleinement le segment en s’adjoignant les compétences de professionnels partenaires. «?Si le cadre réglementaire venait à le permettre, nous souhaiterions évoluer vers une holding capitalistique, interprofessionnelle : recourir à nos propres notaires, géomètres, architectes, experts-immobiliers, etc. Au-delà de l’intérêt financier évident, nous pourrions offrir un service complet à nos clients?», confie Jean-Christophe Bouchard, lucide quant à la tradition conservatrice du droit français. En attendant, NMW fait preuve d’une vision moderne et innovante des cabinets d’affaires.
Le trinôme
Jean-Christophe Bouchard a exercé durant cinq ans en qualité d’auditeur financier chez KPMG avant de devenir expert-comptable. Il adjoint une formation de juriste à son socle comptable, et se spécialise en fiscalité. Il prête ainsi serment en 1999. S’enchaîne ensuite une expérience d’avocat dans plusieurs cabinets français. Il y construit alors son avenir grâce aux rencontres déterminantes de Sarah Lugan et Philippe Reigné.
Sarah Lugan est notaire de formation. Elle a exercé durant huit ans avant de rejoindre le cabinet d’avocats. Elle apporte au cabinet ses expertises en droit immobilier et patrimonial. Elle maîtrise le droit de l’environnement lié à l’urbanisme, le droit de la construction et les baux commerciaux.
Ils sont rejoints en juin 2011 par Philippe Reigné. S’ajoute ainsi à la pratique corporate finance et haut de bilan, l’expertise en corporate du professeur. Ancien d’HEC, agrégé de droit, diplômé d’études comptables et financières, il a exercé durant sept ans chez Archibald. Ce spécialiste des dossiers de cessions et d’acquisitions, de droit boursier et de financement fait de la consultation la suite logique et l’une des sources de son enseignement.
L’équipe de NMW est restreinte, solidaire, le trinôme forme une entité dense, compacte, singulière et interprofessionnelle. NMW se manœuvre sans l’inertie liée aux grosses structures. Positionné à la zone de contact entre l’immobilier, le corporate et la fiscalité, NMW s’adresse principalement à une clientèle internationale, soucieuse d’optimiser et de préserver son patrimoine. Elle est formée d’institutions telles que des sociétés immobilières ou foncières, compagnies d’assurance, fonds d’investissement, prêteurs et emprunteurs – SFL, Icade, Covea, Intrawest, Lloyds par exemple – mais également de particuliers fortunés internationaux et français.
La méthode no more worries
L’esprit commun des fondateurs lie la simplicité au pragmatisme : littéralement, la transposition de l’anagramme NMW – no more worries – signifie que le cabinet s’engage, par sa charte de valeurs, à proposer une solution concrète au client et à résoudre ses problèmes. Autrement dit, le cabinet ne raisonne pas au travers du nombre de dossiers qu’il accepte de prendre en charge et donc quantitativement, mais qualitativement.
En outre, si le barreau impose a minima quarante heures de formation biennale continue, NMW va spontanément au-delà en s’imposant une formation permanente. Le professeur Philippe Reigné se charge de la doctrine interne, de la veille juridique et de la mise à jour des connaissances techniques des avocats. Agrégé, il se fait fort d’assurer le knowledge management du cabinet. Cette formation permanente propre à NMW permet également d’harmoniser les méthodes de travail de l’ensemble des collaborateurs, NMW misant sur l’interprofessionalisation et sur la pluridisciplinarité de chacun.
Future holding capitalistique ?
NMW n’a pas vocation à devenir full service ; la croissance, qui n’est pas un objectif du cabinet, mais une conséquence de son succès, pourra se trouver ailleurs, dans l’interprofessionnalité justement. La gestion de patrimoine d’entreprise et de particuliers demeurera au centre de leur intervention. Ce qui intéresse les associés serait d’occuper pleinement le segment en s’adjoignant les compétences de professionnels partenaires. «?Si le cadre réglementaire venait à le permettre, nous souhaiterions évoluer vers une holding capitalistique, interprofessionnelle : recourir à nos propres notaires, géomètres, architectes, experts-immobiliers, etc. Au-delà de l’intérêt financier évident, nous pourrions offrir un service complet à nos clients?», confie Jean-Christophe Bouchard, lucide quant à la tradition conservatrice du droit français. En attendant, NMW fait preuve d’une vision moderne et innovante des cabinets d’affaires.
