Un rayonnement mondial, une ambition locale
Accuracy : l’indépendance au service de la croissance
Créé en 2004 par des anciens d’Arthur Andersen, Accuracy s’impose en moins de dix ans comme un acteur indépendant de référence dans le domaine du conseil financier aux dirigeants d’entreprise.
Malgré une année de M&A à deux vitesses, avec un premier semestre très soutenu pour les corporates comme pour les fonds et un second trimestre fortement affecté par l’effondrement des marchés, la firme affiche un chiffre d’affaires de 41 millions d’euros et une croissance de 17 % par rapport à 2010. Une chose est sûre, la crise de la zone euro n’a pas remis en question le business model du conseiller financier, et son positionnement stratégique semble parfaitement répondre aux besoins de ses clients.
Un rayonnement mondial, une ambition locale
Quand Frédéric Duponchel, CEO d’Accuracy, définit la firme comme un acteur européen au rayonnement mondial, ce n’est pas qu’une figure de style. En effet, déjà bien implanté en Europe (France, Italie, Espagne, Pays-Bas, Allemagne, Royaume-Uni, Belgique) et au Canada, Accuracy a annoncé en janvier 2012 l’ouverture de son premier bureau en Inde. Les grands groupes cotés industriels européens représentant en effet le cœur de la clientèle d’Accuracy (environ 60 % de l’activité), ils ont depuis quelques années fait part aux collaborateurs de leur désir d’être accompagnés dans leurs projets de développement ou dans le suivi de leurs participations partout où ils étaient. Assez naturellement, certaines zones géographiques en croissance, comme l’Inde, la Chine, le Brésil ou encore les États-Unis, sont privilégiées. L’ouverture du bureau à New-Dehli s’inscrit dans cette logique. Comme le précise Frédéric Duponchel, « nous avions déjà réalisé plusieurs mission en Inde, mais la demande étant assez forte de la part de nos clients, nous avons donc décidé d’ouvrir un bureau local. L’idée étant dans un premier temps d’accompagner nos clients dans leur développement sur place, et dans un deuxième temps de devenir un acteur local pour conseiller les entreprises indiennes dans leurs projets de croissance en Europe. » Aujourd’hui présents sur le sous-continent, il n’est pas improbable d’imaginer demain l’ouverture d’un bureau dans d’autres pays à forte croissance comme la Chine ou le Brésil….
Un business model différenciant
2011 aura donc été une belle année pour Accuracy dans tous ses domaines d’intervention. C’est le cas de la practice transactionnelle du cabinet, qui représente pas moins de 50 % de l’activité. L’approche des collaborateurs dans les missions de due diligence est d’ailleurs très enrichissante pour leurs clients. Il s’agit entre autres de missions d’évaluation complexes, d’analyses de marché et de tout autre type de conseil autour de la transaction. Dans ce contexte, Frédéric Duponchel précise qu’ « Il y a beaucoup de travail de préparation avant la transaction, par exemple l’étude des business plans et de l’environnement sectoriel, ou, après celle-ci, en évaluation ou parfois contentieux sur le prix. Nous offrons ainsi une prestation complète et performante. » En ce qui concerne l’activité de contentieux, Accuracy revendique à juste titre le leadership en expertise de parties, mais les collaborateurs interviennent également dans des missions d’équité ou le contrôle de fraudes. Enfin, l’activité recovery occupe trois associés et une vingtaine de consultants sur des dossiers de procédures collectives ou de dépôts de bilan. Les pôles Valuation et Economics & Business Analysis sont des expertises qui viennent compléter les trois activités. Ainsi, une des valeurs ajoutées d’Accuracy est de réussir à rassembler des expertises dans un projet d’investissement ou de développement. Frédéric Duponchel résume le positionnement d’Accuracy en expliquant que « le business model repose sur notre capacité à agréger des compétences afin de dégager une problématique spécifique et d’offrir une solution sur mesure. De cette manière, nous pouvons répondre à tous les besoins de nos clients. »
Bonne année 2012 en perspective
En 2011, c’est en moyenne 180 collaborateurs qui ont contribué à la croissance d’Accuracy. En 2012, la firme devrait vraisemblablement continuer à recruter. Une des raisons de ce succès réside d’ailleurs dans la qualité du recrutement, toujours très précis et méticuleux. Frédéric Duponchel confie qu’il n’y a pas de planification précise du nombre de recrutements et ajoute : « Nous voulons recruter les meilleurs !». Aujourd’hui, la moitié de l’effectif se trouve en France, sachant que le chiffre d’affaires y représente 2/3 du chiffre d’affaires global. Il y a donc encore un grand potentiel de croissance dans les bureaux à l’étranger. Malgré un carnet de commande à horizon très court inhérent à ce type d’activité, les collaborateurs abordent 2012 avec optimisme et un budget en hausse de 17 %. Pour Frédéric Duponchel, « même si le climat économique inquiète, l’activité de M&A devrait être soutenue car en général les grands groupes ont de la trésorerie. En ce qui concerne le private equity, la dette est difficile à trouver mais elle n’est pas inexistante. Les fonds vont continuer à être actifs. Ils vont également vendre, et il est possible qu’ils soient conduits à faire des concessions sur les prix. »
Malgré une année de M&A à deux vitesses, avec un premier semestre très soutenu pour les corporates comme pour les fonds et un second trimestre fortement affecté par l’effondrement des marchés, la firme affiche un chiffre d’affaires de 41 millions d’euros et une croissance de 17 % par rapport à 2010. Une chose est sûre, la crise de la zone euro n’a pas remis en question le business model du conseiller financier, et son positionnement stratégique semble parfaitement répondre aux besoins de ses clients.
Un rayonnement mondial, une ambition locale
Quand Frédéric Duponchel, CEO d’Accuracy, définit la firme comme un acteur européen au rayonnement mondial, ce n’est pas qu’une figure de style. En effet, déjà bien implanté en Europe (France, Italie, Espagne, Pays-Bas, Allemagne, Royaume-Uni, Belgique) et au Canada, Accuracy a annoncé en janvier 2012 l’ouverture de son premier bureau en Inde. Les grands groupes cotés industriels européens représentant en effet le cœur de la clientèle d’Accuracy (environ 60 % de l’activité), ils ont depuis quelques années fait part aux collaborateurs de leur désir d’être accompagnés dans leurs projets de développement ou dans le suivi de leurs participations partout où ils étaient. Assez naturellement, certaines zones géographiques en croissance, comme l’Inde, la Chine, le Brésil ou encore les États-Unis, sont privilégiées. L’ouverture du bureau à New-Dehli s’inscrit dans cette logique. Comme le précise Frédéric Duponchel, « nous avions déjà réalisé plusieurs mission en Inde, mais la demande étant assez forte de la part de nos clients, nous avons donc décidé d’ouvrir un bureau local. L’idée étant dans un premier temps d’accompagner nos clients dans leur développement sur place, et dans un deuxième temps de devenir un acteur local pour conseiller les entreprises indiennes dans leurs projets de croissance en Europe. » Aujourd’hui présents sur le sous-continent, il n’est pas improbable d’imaginer demain l’ouverture d’un bureau dans d’autres pays à forte croissance comme la Chine ou le Brésil….
Un business model différenciant
2011 aura donc été une belle année pour Accuracy dans tous ses domaines d’intervention. C’est le cas de la practice transactionnelle du cabinet, qui représente pas moins de 50 % de l’activité. L’approche des collaborateurs dans les missions de due diligence est d’ailleurs très enrichissante pour leurs clients. Il s’agit entre autres de missions d’évaluation complexes, d’analyses de marché et de tout autre type de conseil autour de la transaction. Dans ce contexte, Frédéric Duponchel précise qu’ « Il y a beaucoup de travail de préparation avant la transaction, par exemple l’étude des business plans et de l’environnement sectoriel, ou, après celle-ci, en évaluation ou parfois contentieux sur le prix. Nous offrons ainsi une prestation complète et performante. » En ce qui concerne l’activité de contentieux, Accuracy revendique à juste titre le leadership en expertise de parties, mais les collaborateurs interviennent également dans des missions d’équité ou le contrôle de fraudes. Enfin, l’activité recovery occupe trois associés et une vingtaine de consultants sur des dossiers de procédures collectives ou de dépôts de bilan. Les pôles Valuation et Economics & Business Analysis sont des expertises qui viennent compléter les trois activités. Ainsi, une des valeurs ajoutées d’Accuracy est de réussir à rassembler des expertises dans un projet d’investissement ou de développement. Frédéric Duponchel résume le positionnement d’Accuracy en expliquant que « le business model repose sur notre capacité à agréger des compétences afin de dégager une problématique spécifique et d’offrir une solution sur mesure. De cette manière, nous pouvons répondre à tous les besoins de nos clients. »
Bonne année 2012 en perspective
En 2011, c’est en moyenne 180 collaborateurs qui ont contribué à la croissance d’Accuracy. En 2012, la firme devrait vraisemblablement continuer à recruter. Une des raisons de ce succès réside d’ailleurs dans la qualité du recrutement, toujours très précis et méticuleux. Frédéric Duponchel confie qu’il n’y a pas de planification précise du nombre de recrutements et ajoute : « Nous voulons recruter les meilleurs !». Aujourd’hui, la moitié de l’effectif se trouve en France, sachant que le chiffre d’affaires y représente 2/3 du chiffre d’affaires global. Il y a donc encore un grand potentiel de croissance dans les bureaux à l’étranger. Malgré un carnet de commande à horizon très court inhérent à ce type d’activité, les collaborateurs abordent 2012 avec optimisme et un budget en hausse de 17 %. Pour Frédéric Duponchel, « même si le climat économique inquiète, l’activité de M&A devrait être soutenue car en général les grands groupes ont de la trésorerie. En ce qui concerne le private equity, la dette est difficile à trouver mais elle n’est pas inexistante. Les fonds vont continuer à être actifs. Ils vont également vendre, et il est possible qu’ils soient conduits à faire des concessions sur les prix. »
