Mettons en concurrence les avocats dans l’intérêt de tous ! Par Virginie Viola, fondatrice, Hoc Opus
Courtage juridique et bienfaits de la mise en concurrence des avocats
Tous les directeurs juridiques ont un carnet d’adresses d’avocats plus ou moins bien rempli mais, est-ce suffisant pour disposer de l’avocat « idéal » pour chacune de leurs missions. La plupart du temps, nous recherchons soit la perle rare pour un dossier complexe ou particulier, soit simplement le bon avocat qui comprend parfaitement et rapidement la problématique.
Dans tous les cas, il est rare que le directeur juridique dispose de beaucoup de temps pour faire son choix… la pression interne est souvent mise sur la gestion des dossiers plutôt que sur la sélection du bon avocat. C’est ainsi que le bouche à oreille s’est imposé comme l’approche la plus rapide. Mais en termes de satisfaction client, est-ce vraiment la méthode la plus appropriée ?
Les sources d’insatisfaction portent toujours sur les mêmes thématiques : approche trop théorique, honoraires dépassés, pas de prise de position, hors sujet,… Or, il est tout à fait possible d’enrayer ces phénomènes. Le lancement d’un appel d’offres permet en effet d’anticiper et donc de négocier les conditions de réalisation de la prestation de l’avocat.
Appel d’offres : Le mot est lâché ... et fait peur, il évoque une énorme machine administrative. Et pourtant, le mécanisme est adaptable à chaque type de mission. Le temps que l’on consacre à l’exercice est lui aussi modulable. Et les avocats consultés peuvent être ceux d’un portefeuille existant… ou pas.
Pour mener à bien un appel d’offres d’avocats, la mise en concurrence doit se baser sur les 3 critères déterminants que sont :
A l’évidence, l’émission d’une offre formalisée par l’avocat est appréciée par les directeurs juridiques. Coté budget, c’est toujours un sujet délicat en France mais néanmoins incontournable. Et l’expérience démontre que plus les honoraires sont négociés tôt et délimités par le mécanisme du forfait, plus la relation avocat/client est satisfaisante.
La discussion des honoraires en amont, même pour un forfait, plait également aux avocats qui n’ont plus, de ce fait, à gérer la soupe à la grimace de leurs clients à la réception des factures d’honoraires. Il en est de même concernant la réalisation d’un « cahier des charges », même sommaire, qui permet à l’avocat d’avoir une feuille de route claire et réfléchie.
Mais, une fois convaincu des effets bénéfiques de la mise en concurrence, demeure le problème du temps dont les managers juridiques ne disposent pas énormément. Il est alors possible de faire bénéficier ses juristes de formations aux appels d’offres d’avocats. Et/ou faire appel à un courtier en conseil juridique tel qu’Hoc Opus, expert en négociation avec les avocats.
Méfiance tout de même, pour être légal le courtage en conseil juridique doit remplir les conditions suivantes :
Dans tous les cas, il est rare que le directeur juridique dispose de beaucoup de temps pour faire son choix… la pression interne est souvent mise sur la gestion des dossiers plutôt que sur la sélection du bon avocat. C’est ainsi que le bouche à oreille s’est imposé comme l’approche la plus rapide. Mais en termes de satisfaction client, est-ce vraiment la méthode la plus appropriée ?
Les sources d’insatisfaction portent toujours sur les mêmes thématiques : approche trop théorique, honoraires dépassés, pas de prise de position, hors sujet,… Or, il est tout à fait possible d’enrayer ces phénomènes. Le lancement d’un appel d’offres permet en effet d’anticiper et donc de négocier les conditions de réalisation de la prestation de l’avocat.
Appel d’offres : Le mot est lâché ... et fait peur, il évoque une énorme machine administrative. Et pourtant, le mécanisme est adaptable à chaque type de mission. Le temps que l’on consacre à l’exercice est lui aussi modulable. Et les avocats consultés peuvent être ceux d’un portefeuille existant… ou pas.
Pour mener à bien un appel d’offres d’avocats, la mise en concurrence doit se baser sur les 3 critères déterminants que sont :
- Compétence et expérience ciblées,
- Honoraires au juste prix,
- Disponibilité réelle de l’avocat.
A l’évidence, l’émission d’une offre formalisée par l’avocat est appréciée par les directeurs juridiques. Coté budget, c’est toujours un sujet délicat en France mais néanmoins incontournable. Et l’expérience démontre que plus les honoraires sont négociés tôt et délimités par le mécanisme du forfait, plus la relation avocat/client est satisfaisante.
La discussion des honoraires en amont, même pour un forfait, plait également aux avocats qui n’ont plus, de ce fait, à gérer la soupe à la grimace de leurs clients à la réception des factures d’honoraires. Il en est de même concernant la réalisation d’un « cahier des charges », même sommaire, qui permet à l’avocat d’avoir une feuille de route claire et réfléchie.
Mais, une fois convaincu des effets bénéfiques de la mise en concurrence, demeure le problème du temps dont les managers juridiques ne disposent pas énormément. Il est alors possible de faire bénéficier ses juristes de formations aux appels d’offres d’avocats. Et/ou faire appel à un courtier en conseil juridique tel qu’Hoc Opus, expert en négociation avec les avocats.
Méfiance tout de même, pour être légal le courtage en conseil juridique doit remplir les conditions suivantes :
- Aucune relation financière entre le courtier et les avocats,
- Le courtier ne doit pas donner de consultation juridique.