Cooptations chez Herbert Smith Freehills Paris
Herbert Smith Freehills (HSF) poursuit sa croissance interne : après avoir coopté Martin Le Touzé en qualité d’associé en contentieux bancaire et financier, le cabinet anglo-australien élève au rang de counsel Sophie de Labrouhe, Elisabeth Debrégeas et Nicolas Pol respectivement dans les départements corporate, droit social et contentieux.
Sophie de Labrouhe a débuté au sein du département corporate du cabinet comme collaboratrice où elle exerce depuis plus de neuf ans. C’est une spécialiste du droit boursier et du droit des sociétés. Elle intervient sur des opérations de fusions-acquisitions publiques et privées. Sophie de Labrouhe est titulaire d’un master 2 professionnel juriste d’affaires de l’université Paris XI-Sceau, d’un master 2 de droit européen des affaires de l’université Paris II-Panthéon-Assas et d’un LL.M de la Ludwig Maximilian Universität de Munich (Allemagne). Sophie de Labrouhe est devenue avocate au barreau de Paris en 2010.
Elisabeth Debrégeas a, quant à elle, rejoint le département droit social du cabinet après avoir travaillé pendant quatre ans comme juriste dans l’industrie pharmaceutique. Avocate au barreau de Paris depuis 2000, Elisabeth Debrégeas intervient sur des dossiers de droit social, principalement dans les domaines non-contentieux, lors de la négociation d’accords collectifs et dans la gestion des relations avec les représentants du personnel. L’avocate est titulaire d’un DESS en droit médical et pharmaceutique de l’université Paris XI-Sceaux et d’une maîtrise de droit des affaires de l’université Paris X-Nanterre.
Nicolas Pol a intégré le département disputes d’HSF en 2011, année au cours de laquelle il est devenu avocat. C’est un spécialiste du contentieux commercial. À ce titre, il agit en matière de litiges à dimension internationale principalement dans les secteurs de l’industrie, des assurances, des énergies ou encore des infrastructures. L’avocat est diplômé d’un master 2 théorie et pratique du procès de l’université Paris I-Panthéon-Sorbonne et d’un master 2 droits de l’homme et droit humanitaire de l’université Paris II-Panthéon-Assas.