Claire Calmejane : la figure de l’innovation de la Société générale
Avec ses 28 000 abonnés sur LinkedIn et 17 500 followers sur Twitter, Claire Calmejane est la directrice de l’innovation du secteur bancaire la plus suivie et la plus influente du moment. Diplômée de l’école d’ingénieurs EPITA, et titulaire d’un master HEC, cette figure féminine de l’écosystème IT a développé une solide expérience dans les domaines des nouvelles technologies et de la transformation numérique des services financiers. Contributrice d’une étude sur la transformation digitale des grands groupes menée par le MIT en 2011, elle rejoint le bureau de Londres de Capgemini pour piloter le centre digital du secteur Financial Services. Elle est par la suite recrutée en 2012 par Lloyds Banking Group, en tant que responsable du Digital delivery au sein de la direction des services en ligne, puis directrice de l’Innovation où elle met en place les Labs d’innovation et la Digital Academy, avant d’être nommée directrice de la transformation des risques au sein du même groupe.
Dans un contexte de forte accélération de la transformation numérique engagée par le groupe bancaire, Claire Calmejane a pour mission de continuer de diffuser la culture d’innovation.
Son expertise en matière de fintech et d’open banking ainsi que son engagement auprès du World Economic Forum sur les sujets d’intelligence artificielle et d’automatisation font de Claire Calmejane une spécialiste reconnue de la transformation numérique dans le secteur bancaire et l’écosystème de l’innovation. Le 3 décembre 2018, c’est au poste de directrice de l’innovation qu’elle rejoint la Société générale. Rattachée à Frédéric Oudéa, directeur général, elle intègre le Comité de direction du groupe. Dans un contexte de forte accélération de la transformation numérique engagée par le groupe bancaire, Claire Calmejane a pour mission de continuer de diffuser la culture d’innovation et d’identifier de nouveaux business et services pour les clients. Elle est également chargée des investissements dans les start-up internes et externes, de poursuivre les actions de veille et les partenariats avec l’écosystème externe, de favoriser l’émergence d’innovations de rupture et de tirer parti des technologies et de la gestion des données.