La vie politique est faite de petites phrases. Si certaines s’oublient, d’autres collent à la peau tel le sparadrap du capitaine Haddock. Un avis surement partagé par Nicolas Sarkozy dont des propos prononcés sur Quotidien le 10 septembre au soir suscitent une vive polémique.
Si l’on comptabilise le nombre de morts pour un million d’habitants, les États les plus atteints par le coronavirus ne sont pas toujours ceux auxquels on pense spontanément.
L’ancien ministre de l’Intérieur s’impose de peu face à Aurore Bergé et aura la lourde tâche de resserrer les rangs macronistes en vue de la prochaine présidentielle. Deux présidences de commission changent également de main.
Si la petite phrase sur l’ensauvagement de la société prononcée par le ministre de l’Intérieur suscite de nombreux débats dans les médias, les Français semblent massivement y adhérer révèle une étude Ifop.
En première ligne durant la crise sanitaire au point de s’imposer en figure de la lutte contre le virus, Jean Rottner l’est également depuis que, partout, on parle de construire le monde d’après. Ce monde que le président de la région Grand Est voit plus agile, plus décentralisé et, surtout, plus collectif.
Pour exploiter les gisements de gaz en Méditerranée orientale et en mer Égée, le régime d'Erdogan n’hésite pas à aller au bras de fer avec l’UE en faisant croiser des navires militaires dans les eaux grecques. Face à ces incursions, les pays membres semblent adopter une stratégie divergente. Si la France joue la carte de la fermeté en envoyant des militaires dans la zone, l’Allemagne mise sur le dialogue. Ce qui, pour le moment, ne fait pas reculer les navires turcs.