Face aux nouvelles attentes des coommateu, il devient essentiel pour les entreprises d’axer leur stratégie autour de l’environnement. Usines, processus, produits… Désormais, tout est estampillé vert. À tel point que les clients peinent à s’y retrouver. Da un tel contexte, la communication devient essentielle.
Depuis 2005, les énergies renouvelables ont le vent en poupe. Portées par des subventio étatiques et une demande en hausse, les start-up estampillées « green » fleurissent. Les investisseu se précipitent sur ce marché prometteur. Les valorisatio de ces nouvelles sociétés s’envolent.
Dix-huit mois après son entrée en vigueur, la Loi sur la Respoabilité Environnementale(1) (LRE) n’a pas encore reçu d’application concrète. Néanmoi, le risque est bien réel pour les entreprises de devoir réparer les dommages causés à l’environnement par leu activités selon une méthode inédite.
Solarworld, spécialiste allemand de l’énergie photovoltaïque, a annoncé le 14 janvier le succès de son émission obligataire, d’un montant de 400 M€ à sept a, et portant un coupon de 6,125 %.
Alstom et Schneider créent la surprise. Les deux poids lourds de l’industrie française ont décidé de créer un fonds de capital risque destiné au financement des jeunes pousses innovantes da l’énergie et l’environnement.
Avec les 3 M€ levés, l’entreprise se donne les moye de « financer en partie la cotruction de centrales de production d’énergie photovoltaïque da le Sud de la France ». Le projet se base sur des cotructio « purement dédiées à usage agricole et industriel ».