Les praticiens du droit à la recherche d’outils numériques ne trouvent pas toujours leur bonheur parmi la gamme de produits toujours plus abondante et diversifiée qu’offre la legaltech française. Certains ont du mal à se contenter des solutions standard proposées au grand public, d’autres cherchent l’outil simple et paramétrable adapté à leur organisation quand quelques-uns sont prêts à collaborer avec les legaltechers afin de tailler des logiciels répondant à leurs besoins spécifiques. Entre BtoB et BtoC, le marché est en pleine construction.
Quelles sont les solutions numériques disponibles sur le marché pour les juristes ? Que proposent-elles ? Comment se distinguent-elles ? Segment par segment, Décideurs Juridiques a réalisé un recensement des outils constituant aujourd'hui la richesse de la legaltech française en cette fin d'année 2021.
Le monde semblait avoir oublié que derrière la data et le cloud se cachent toujours une réalité matérielle : l’incendie du datacenter d’OVH à Strasbourg le 10 mars 2021 l’a cruellement rappelé. Retour sur les faits et analyse juridique.
Du temps et de l’argent. Voilà ce que demande l’utilisation d’un outil informatique. Et cela vaut pour les juristes peut-être plus que pour d’autres professionnels car s’ils veulent que leur métier évolue, ils devront, entre autres, identifier les besoins, évaluer leur transversalité, estimer un budget, proposer un système d’autoévaluation pour sélectionner les solutions idoines, activer son déploiement puis le perfectionner. Un travail au long court.
Arrivée chez Cleary Gottlieb il y a plus de vingt ans, Delphine Michot accède à l’association au sein du bureau parisien du cabinet international. Sa nomination prendra effet le 1er janvier 2022.
Massalia Finance et Finance Invest, respectivement implantés à Marseille et Bordeaux, sont deux cabinets en gestion de patrimoine qui collaborent régulièrement ensemble. Lionel Lafon nous détaille les initiatives mises en place pour assurer une continuité d’activité, le bilan de l’année écoulée et les perspectives de développement.
Lors de sa 43e réunion annuelle qui s’est tenue du 18 au 21 octobre dernier, l’Assemblée mondiale pour la protection de la vie privée (ou Global Privacy Assembly) a édicté cinq résolutions. Parmi celles-ci, deux ont été corédigées par la Cnil.