Dans l’hypothèse où se rejouerait la présidentielle de 2012, François Hollande serait sorti dès le premier tour.
François Hollande éjecté au premier tour
La sanction est sans appel. Selon le sondage OpinionWay pour Le Figaro et LCI du 16 avril 2014, François Hollande ne passerait pas le premier tour des élections présidentielles si elles se tenaient aujourd’hui entre les mêmes candidats qu’en 2012. Avec 19 % des intentions de vote, il serait distancé par Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy - qui obtiendraient respectivement 25 % et 29 % des votes. Dans cette configuration, l’ancien locataire de l’Élysée l’emporterait au second tour avec 67 % des voix. Dans l’hypothèse d’un second tour opposant François Hollande à Nicolas Sarkozy, ce dernier l’emporterait également, et avec une avance confortable - 61 % des suffrages. Ce n’est qu’en cas de duel avec Marine Le Pen que François Hollande serait élu avec 54 % des votes.
L’étude révèle également que 83 % des Français se déclarent mécontents de l’action du président de la République, un chiffre historique en hausse de neuf points par rapport à avril 2013. Le taux d’insatisfaction atteint des sommets quand il est question de son action en matière de lutte contre le chômage (88 %), de politique fiscale (85 %) ou du respect des engagements pris pendant sa campagne (84 %). Le fossé entre l’Élysée et l’opinion se creuse : 21 % seulement de la population estiment le chef de l’exécutif à l’écoute de ses préoccupations alors que ceux le jugeant capable de rassembler les Français ne représentent que 13 % des sondés.
L’étude révèle également que 83 % des Français se déclarent mécontents de l’action du président de la République, un chiffre historique en hausse de neuf points par rapport à avril 2013. Le taux d’insatisfaction atteint des sommets quand il est question de son action en matière de lutte contre le chômage (88 %), de politique fiscale (85 %) ou du respect des engagements pris pendant sa campagne (84 %). Le fossé entre l’Élysée et l’opinion se creuse : 21 % seulement de la population estiment le chef de l’exécutif à l’écoute de ses préoccupations alors que ceux le jugeant capable de rassembler les Français ne représentent que 13 % des sondés.