L’année 2007 a marqué l’apogée da les rémunératio des dirigeants de LBO. Aujourd’hui la tendance est à l’apaisement. Avec la crise du LBO, les manage ont pris une douche froide. Ce coup d’arrêt à la surenchère da les rémunératio est salvateur et sanctionne la démesure. Désormais, les systèmes de rémunération semblent plus raisonnables, comme si les acteu du LBO avaient enfin pris cocience du danger de la surenchère.
Réformée pour rendre la procédure plus attractive pour les chefs d’entreprise et plus souple pour les créancie, la loi de sauvegarde a été vendue comme une bouée de sauvetage pour les entreprises sous LBO en difficulté. Mais après quelques mois d’application, l’impression est plus mitigée tant le sort des créancie et des cibles opérationnelles est incertain.
Déjà actionnaire à hauteur de 80 %, la banque présidée par Frédéric Oudéa vient d’achever la reprise de l’intégralité du capital du Crédit du Nord. Jusque là détenus par Dexia, les 20 % restants ont été valorisés 676 millio d’euros.